Boite de Cônes d'encens à refoulement - Bois d'Agar
Encens de Chine et d'Asie
Description des cônes à encens:
Nos cônes à encens sont nommés « grains » par les Chinois, car ils ressemblent à des grains de blé. Ils sont dotés d’un trou en leur centre afin que leur fumée s’évacue vers le bas. Ainsi, la fumée de nos cônes à encens est stagnante, ce qui lui permet de s’accumuler sur son support ou de suivre un cheminement sur nos porte-encens qui sont prévus à cet effet.
L’encens que nous vous proposons sur notre site possède une action bienfaisante sur l’équilibre psychologique et sur la santé physique de ses utilisateurs. En effet, l’encens est utilisé depuis l’Antiquité pour purifier l’air, pour apaiser l’esprit et pour soigner plusieurs maux. Il est donc très utile pour obtenir ou conserver le bien-être physique et mental.
Par conséquent, nos cônes à encens sont conseillés pour bonifier l’air à l’intérieur de votre maison et pour vous apporter du bien-être. Ils sont vendus par boîte de 40 pièces et sont compatibles avec les porte-encens design que nous proposons également sur notre site.
Histoire de l’encens en Chine:
L’encens est utilisé depuis l’Antiquité en Chine, mais également en Europe, en Afrique, en Amérique, en Inde et dans le reste de l’Asie. À cette époque, et pendant des millénaires, l’encens était principalement utilisé pour des rites religieux et spirituels. Les grandes religions antiques utilisaient une grande quantité d’encens, par conséquent son commerce est rapidement devenu une activité très lucrative. À cette époque, l’Inde et les pays du sud de la péninsule arabique étaient les plus grandes zones de production au monde. De nombreuses « routes de l’encens » ont été créées afin de desservir l’Europe et le reste de l’Asie, par voie terrestre principalement.
La composition de l’encens était différente d’un continent à un autre, mais la résine la plus utilisée est produite à partir d’arbres de genre Boswellia de la famille des Burséracées. Cet arbre est originaire d’Oman, mais il est également cultivé en Inde, au Yémen et en Somalie. C’est l’arbre mâle qui produit la résine destinée à fabriquer de l’encens, mais il est nécessaire qu’il atteigne l’âge de 10 ans au minimum pour obtenir de la résine de bonne qualité. Pour récolter la résine, l’écorce de cet arbre est incisée en enlevant un lambeau long et étroit. Puis, cette zone est raclée pour récolter les concrétions de résine qui tombent dans un récipient. Au contact de l’air, la résine durcit et elle est récoltée deux ou trois semaines après.
Durant l’Antiquité, en Chine, l’encens était considéré comme étant plus précieux que l’or. C’était une matière prestigieuse, au même titre que le jade. En Égypte, l’étymologie du mot encens renvoie au divin, comme en Grèce ou chez les Romains. L’encens est également très utilisé chez les chrétiens, car il fait partie des cadeaux que les mages ont apportés au Christ. La fumée que dégage la combustion de l’encens symbolise dans cette religion les prières qui montent vers le ciel et vers Dieu. Lors des cérémonies chrétiennes, on brûle de l’encens dans des encensoirs qu’on balance afin de diffuser son parfum dans la totalité du bâtiment religieux.
L’encens était très présent dans les rites des religions païennes, et il a été rapidement repris par les grandes religions monothéistes pour leurs propres rites. D’ailleurs, la composition de l’encens figure dans la Bible, car Dieu aurait remis la « recette » de l’encens à Moïse. Les chamans d’Asie et d’Amérique ont rapidement découvert que l’encens apportait l’apaisement intérieur et la sérénité, les fondements du bien-être selon eux. Ils faisaient également respirer de l’encens à des malades afin de soigner certaines maladies. À cet effet, ils disposaient la résine sur du charbon ardent ou sur une pierre chauffée jusqu’à l’incandescence.
De nos jours, l’encens est considéré comme un allié objectif du bien-être. En effet, son efficacité est établie par la médecine occidentale et orientale concernant certains maux comme la maladie de Crohn, la polyarthrite rhumatoïde ou l’asthme. Il est toujours utilisé lors des rites religieux sur toute la planète, et de nombreux particuliers en consomment à titre privé, pour purifier l’air de leur maison notamment. Les vertus de l’encens sont unanimement reconnues à travers le monde, dans le domaine de la parfumerie, de la santé et du bien-être.
Le bois de Santal:
Depuis de nombreux siècles, le bois de Santal fait partie des ingrédients de base de l’encens en Asie et sur d’autres continents. En effet, cet arbre pousse principalement en Inde, en Australie, au Népal, à Hawaï et en Nouvelle-Calédonie. Le principal avantage du bois de Santal, lorsqu’il entre dans la composition de l’encens, est qu’il est un excellent fixateur pour capturer les arômes des autres huiles essentielles de la composition. De plus, son odeur est boisée et douce, ce qui la rend très agréable. Le bois de Santal est doté de propriétés calmantes, apaisantes, antiseptiques et désinfectantes.
Par conséquent, le bois de Santal est très utilisé dans la composition de l’encens en grain ou en bâtonnet. Il permet de purifier l’air à l’intérieur des maisons, tout en laissant une odeur délicate et agréable. Il est établi que le bois de Santal agit positivement sur les ondes alpha du cerveau, celles qui permettent de méditer sereinement. Il se décline également sous forme d’huile parfumée qui aide à trouver le calme, à combattre l’anxiété, à combattre l’acné, à revitaliser la peau et à rétablir la circulation sanguine. Le bois de Santal est utilisé depuis de nombreux siècles par les Birmans, les Égyptiens, les Chinois et les Européens.